Pendant 2 ans, 25 habitant·es du bassin versant du Rhône tiré·es au sort en France et en Suisse ont reçu pour mission d’enquêter sur leur bassin versant et d’imaginer une nouvelle gouvernance avec et pour le fleuve et ses habitant∙es. Aujourd’hui, ils et elles partagent leurs conclusions et appellent les Gardiennes et Gardiens du Rhône à porter la voix du fleuve. Ce projet, porté par l’association ID.Eau, a été accompagné par un comité consultatif dont faisait partie Jean-Louis Michelot. Une expérience passionnante, riche de promesses, à découvrir à travers : Une soirée de présentation des résultats des travaux de l’assemblée (15 mars, Lausanne). La vidéo Le document produit par l’Assemblée

Radio Anthropocène s’est intéressée aux rivières, à notre rapport aux eaux, aux bonnes et aux mauvaises nouvelles à propos de leur santé. François de Gasperi a animé un échange sur ces sujets avec Pierre Suchet, photographe arpenteur de rivières et Jean-Louis Michelot. Le podcast

Le 14 janvier 2024, à l’occasion de l’escale de la goélette Tara à Lyon, le grand amphithéâtre de l’université de Lyon a accueilli une table ronde animée par Erik Orsena, réunissant Gilbert Cochet (naturaliste), Gilles Armani (anthropologue) et Jean-Louis Michelot. Le récit commun des fleuves, des humains et de l’océan évolue au fil des siècles. Il témoigne des choix qui ont façonné notre histoire commune. Il nous rappelle que notre interdépendance avec la nature est indéniable, que chaque action que nous entreprenons a des répercussions à grande échelle. Le récit continue de s’écrire, et il est entre nos mains de décider quelle sera la prochaine page de cette histoire commune des fleuves, des humains et de l’Océan. Vidéo de la table ronde

L’Association Tchendukua travaille depuis des années avec les kogis, habitants le la Sierra Madre de Santa Marte, en Colombie. Elle a organisé fin 2023 un diagnostic de la santé territoriale du Rhône – diagnostic croisé entre 5 kogis et des scientifiques et techniciens européens. Jean-Louis Michelot a guidé ce groupe entre Genève et la Méditerranée. La vision des kogis nous invite à percevoir le fleuve d’une façon réellement globale, comme un organisme vivant, où se mêlent le minéral et le vivant, l’humain et le non-humain, l’aujourd’hui et l’hier… Une vision dont nous avons sacrément besoin ! Une soirée exceptionnelle à la seine musicale, à Paris, a restitué toutes les facettes de cette expérience passionnante. Lien vers la vidéo de la soirée : https://www.youtube.com/watch?v=1gFl_ws2KIg